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Posté le: Mer Sep 13, 2006 4:53 pm Sujet du message:
Personnellement je pense que des chansons des tles en solo ne se serait jamais faites s'ils ne s'étaient pas séparés, typique pour "how do you sleep?" _________________ Arrive without travelling
See all without looking
Do all without doing
Posté le: Mer Sep 13, 2006 6:58 pm Sujet du message:
merci john gouza pour le lien
c'est clair que les solos n'aurait evidemment pas été les memes que si ils avaient étaient fait à quatre, mais quand meme ça reste passionant d'imaginer une suite a leur carriere apres donc ce petit intermede de 1970
je trouve personnellement que les choix de chanson sur le premier album présenté ici n'accorde peut-etre pas assez d'espace a george , mais ce n'est qu'un avis
Inscrit le: 19 Mar 2006 Messages: 1772 Localisation: Pas si loin
Posté le: Jeu Juin 26, 2008 1:01 pm Sujet du message:
Tiens une petite remontée de topic pour faire lien avec cet article trouvé sur BBC Liverpool où un album post séparation est imaginé..
The Greatest Album Never Made?
_________________ C'est doux, ça s'écoute en bouche, ça coule tout seul et en même temps c'est... aigre-doux.
Comme quoi on n'est pas les seuls à avoir tenté le coup
Marrant l'enchaînement de songs telles que My Sweet Lord et God aux paroles qui sont pratiquement à l'opposé. Bien vu
Par contre, y a bien plus de matière que ça pour faire un bon album, c'est clair. Peut-être deux ou trois facile.
Et je n'ose même pas imaginer que certaines aurait donné avec l'intervention d'un ou plusieurs membres du groupe. C'est aussi ça l'alchimie qui opérait pour en faire les joyaux que l'on connait.
Inscrit le: 14 Nov 2002 Messages: 22850 Localisation: Paname
Posté le: Sam Mar 15, 2014 5:41 pm Sujet du message:
Et comme on l'imagine...
C'était un magazine allemand qui s'était amusé en 1977 à imaginer les Beatles avec leur tronche de l'époque.
Ils en avaient fait un poster. Un poster que j'avais au mur de ma chambrette d'ado.
J'ai toujours bien aimé ce poster. C'était plutôt bien vu, je trouve.
A l'époque, le rêve pouvait encore être touché du doigt.
Trois ans plus tard, le rêve était totalement fini.
Sympa cette époque où tout espoir était encore permis.
Et Jean Solé ne s'en est pas privé non-plus d'ailleurs.
Ici illustré dans un numéro de Pilote en 1974.